Café science – Chambéry, le 14 janvier 2016

Des « Brigades du Tigre » aux « Experts » et au « Mentalist », de Sherlock Holmes et son inséparable Dr Watson à la science forensique, le développement des méthodes depuis le premier laboratoire de police scientifique mondial créé à Lyon en 1910, l’identification des criminels utilise les moyens fournis par les développements technologiques et les avancées scientifiques. Depuis l’anthropométrie et les empreintes digitales, l’identification génétique « ADN » et le regroupement des données sur fichier informatisé ont modifié les pratiques. « Serial killer », « voisin paisible devenu meurtrier », « banditisme », « terrorisme », le citoyen/spectateur est nourri quotidiennement du sensationnel et du spectaculaire et l’attraction humaine pour le crime et l’enquête est confirmée par l’intérêt pour les émissions télévisées et la littérature policière. Le recueil des indices sur la scène du crime, l’identification des suspects, l’instruction, le jugement des inculpés font intervenir des techniciens et experts de différentes spécialités.

Par leur témoignage d’acteurs permanents ou d’experts sollicités pour l’enquête, des représentants de la police, de la gendarmerie, des médecins légistes, criminologues, informaticiens, magistrats, avocats pénalistes peuvent apporter dans le débat information et expérience dans une actualité qui ramène au réel moins romanesque et plus complexe.

En présence de :
Jacques BALLEST,  Procureur général
Daniel CATALDI,  Avocat Pénaliste
Philippe ELBAZ-VINCENT,  Professeur à l’Université Grenoble Alpes (UGA), expert en cybersécurité et cryptologie
Philippe GONTHIER,  Psychiatre, médecine légale psychiatrique et criminologue
André GUEHO,  Médecin légiste
Jean-Michel JULIEN,  Agent Police Technique Scientifique
Stéphane ORIAT,  Chef de la cellule d’investigation criminelle de la gendarmerie
Kavé SALAMANTIAN,  Professeur d’informatique à Polytech Annecy-Chambéry.

Enregistrement:

1ère partie:

 2ème partie: