Chaque jour en France, 181 millions de déplacements locaux sont réalisés par les Français. Cela représente en moyenne 35 km quotidien et 71% de ces trajets sont effectués en automobile.
La législation, avec notamment la loi d’orientation des mobilités (LOM) entrée en vigueur le 1er
janvier 2020, cherche à favoriser la transition vers des déplacements décarbonés. Les modes de transports électriques (voiture, bus, vélo, trottinette…) semblent s’inscrire dans cette mobilité durable dans la mesure où ils contribuent à réduire les émissions de CO2, à améliorer la qualité de l’air et à réduire les nuisances sonores.
La voiture électrique est-elle LA solution incontournable ? Faut-il repenser notre rapport à la mobilité et donc à la voiture ? Quelle place doit-on donner aux autres modes de déplacements, notamment collectifs ?
Pour répondre à toutes ces questions, l’association Science actions accueillera plusieurs
intervenants spécialistes du sujet, lors de ce café-débat.

• Forget Marie, enseignante-chercheure au laboratoire EDYTEM de l’USMB, spécialiste de la construction sociale des ressources (eau, énergie, minerais) et des matérialités des transitions environnementales et énergétiques
• Sébastien de Rivaz, ingénieur en économie des énergies et du développement durable.
• Jérôme Petit, consultant Inddigo, responsable régional mobilités, responsable national management et planification des mobilités
• Andrea Rangel-Guevara, chercheuse en économie de l’environnement, spécialiste des inégalités liées à la transition énergétique et du développement durable